non car ils s'adaptent en permanence et les zone des dangers préprogrammées sont différentes des zones de dangers indiquées par les éclaireurs, et dans le menu de ton appareil par exemple tu peux sélectionner si tu veux qu'ils t'indique toutes les zones de danger ou seulement quelques une par exemple
enfin en gros ils s'en occupes, ils ne font pas payer 12 euros par mois à leurs abonnés sans continuer de fournir un service de qualité. Le seul truc qui peut faire que coyote ne soient plus bon c'est si les gens se disent ça et qu'il arrêtent de s'en servir...
En tout cas moi depuis la mise à jour il continu à me signaler les mobiles aussi bien qu'avant, il n'y a que dans paris que c'est forcément moins précis, mais pour l'instant aucune autre application n'a plus d'un million d'utilisateur et c'est quand même un des éléments les plus important de ce genre d'appareils
Les zones de danger sont indiquées par la préfecture qu'il y ait un radar ou pas. Ensuite elles sont envoyées au ministère de l'intérieur qui ensuite les donnent à l'association des aides à la conduite (je ne me rappelle plus le nom) qui ensuite les intègre à la base de données. En gros, c'est l'état qui contrôle les zones de danger
Vu sur le site "Le Parisien.fr", une publication d’Aymeric Renou le 29.11.2011 :
Une circulaire gouvernementale incite les préfets à multiplier le nombre de « zones dangereuses », rendant ambiguë la détection des radars.
Depuis hier, les avertisseurs de radars, ces appareils que 6 millions d’automobilistes français collent sur leur tableau de bord pour éviter d’être flashés, deviennent des « outils d’aide à la conduite ». Conformément à un accord passé entre le gouvernement et les fabricants, ils ne bipent plus pour signaler l’emplacement exact d’un radar mais une zone de danger plus ou moins étendue selon le réseau routier.
Si l’efficacité des appareils reste pratiquement la même aujourd’hui, puisque chaque zone correspond à la présence d’un radar, elle le restera pour une très courte durée ! En effet, à l’occasion d’une nouvelle mise à jour programmée pour la mi-décembre, les appareils deviendront, en un clin d’œil, totalement inoffensifs et inutiles à leurs propriétaires.
A cette date, le gouvernement instillera une nouvelle liste, très fournie, de zones dangereuses. Chaque préfet a été invité, par l’intermédiaire d’une circulaire de la sécurité routière que « le Parisien » - « Aujourd’hui en France » a pu consulter, à fournir très rapidement une carte routière départementale des zones à danger. « Une consigne orale a été donnée aux préfets de rassembler dix fois plus de zones que de radars, raconte sous couvert d’anonymat un ingénieur de travaux publics. Dans un département avec 25 radars fixes par exemple, pas moins de 250 zones de danger ont été compilées, ce qui veut dire qu’un automobiliste sera prévenu seulement une fois sur dix de la présence d’un radar ! » Autant dire que les « outils d’aide à la conduite » émettront très fréquemment des bips, qui ne voudront plus rien dire. Ils perdront instantanément tout intérêt aux yeux des automobilistes cherchant à éviter les amendes pour excès de vitesse.
La méthode utilisée pour identifier ces zones à risques fait également hurler les professionnels de la route. Toujours selon la circulaire, toutes les voies signalées par un panneau de danger — il en existe 28 dans le Code de la route — ou encore celles dont la limitation de vitesse ne correspond pas à la norme (une route nationale à 70 au lieu de 90 par exemple) sont ainsi éligibles au statut de « zones de danger ». « En ne donnant que quelques semaines aux préfets, qui avaient jusqu’au 21 octobre pour rendre leur copie, mais aussi en prenant des critères complètement absurdes techniquement ou en termes de sécurité routière, on comprend l’objectif de la démarche, dénonce Thierry Latger, secrétaire général du Snitpect-FO (Syndicat national des ingénieurs des travaux publics de l’Etat et des collectivités territoriales). Il s’agit de brouiller au maximum l’information sur la position des radars fixes. Dans certains départements (NDLR : comme celui de la Sarthe) les services de gestion de voirie et mêmes certaines sociétés d’autoroutes ont été jusqu’à refuser de collaborer avec les services de l’Etat pour l’établissement des cartes. » La question des radars reste toujours aussi sensible."
Vrai ou pas...