Auteur Sujet: la seconde de vérité  (Lu 7602 fois)

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la seconde de vérité
« le: 26/05/10 à 16:09:01 »
celle de la portière qui s'ouvre dans votre tronche, du mec d'en face qui squatte votre voie dans un virage, de la roue avant qui vous lache.

Etc.

Vous la vivez comment ?
On a tous vu des tas de vidéos de gamelles lamentables, quelques autres d'évitements au taquet.



Pour conclure que la vautre quand elle aurait pu techniquement être évitée est un le résultat d'un mélange d'adrénaline paralysante et d'inexpérience.

...

Perso, je suis quelqu'un de relativement anxieux, du moins constamment en tension; et je pense qu'on peut situer mon expérience du deux roue à "moyenne". Et je roule fort.
Le client parfait quoi.

Pourtant un truc qui m'interpelle, c'est que j'ai jamais peur en deux roues.
Juste une légère nervosité quand je sens que je roule au dessus de mes pompes; alors je ralenti le rythme.
Mais à la seconde face à l'accident potentiel, le réflexe vient toujours avant l'adrénaline... Qui finalement ne vient même pas car "l'évènement" est déjà passé.

Y'en a qui s'arrêtent au bord de la route pour gerber.

Pourtant j'en ai déjà mangé des BAR et du bitume, j'ai toujours eu de la chance mais je sais ce que ça donne; un truc dont ont à toute les raisons de flipper.

Je saurais donc pas trop dire si mes connections niveaux réflexes sont "anormales" dans la moyenne ou bien au contraire très bonnes, mais j'en suis plutôt content...

Et chez vous, il marche comment votre cerveau reptilien ?

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #1 le: 26/05/10 à 16:23:27 »
 [gné] Vous pouvez répéter la question ?  ;D

Sérieusement, j'ai du relire plusieurs fois.
Tu attends quoi ? Qu'on te dise que tu es Zen ou Inconscient parce que tu n'as jamais peur ?

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #2 le: 26/05/10 à 16:25:12 »
personnellement, le jour où je n'aurai plus peur en bécane, j'arrête la bécane  ;)
                 

‎Que celui qui parle dans mon dos se rassure, mon cul le contemple

Clic

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Re : Re : la seconde de vérité
« Réponse #3 le: 26/05/10 à 16:31:04 »
[gné] Vous pouvez répéter la question ?  ;D

Sérieusement, j'ai du relire plusieurs fois.
Tu attends quoi ? Qu'on te dise que tu es Zen ou Inconscient parce que tu n'as jamais peur ?

Nope, des anecdotes d'accidents évités de justesse.
Éventuellement le travail fait sur soi pour améliorer sa conduite.

Toute la théorie pour s'en tirer compactée dans 0.5 seconde pour l'appliquer, un sujet qui m'intéresse perso.

Hors ligne vento

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Re : Re : la seconde de vérité
« Réponse #4 le: 26/05/10 à 16:35:44 »
personnellement, le jour où je n'aurai plus peur en bécane, j'arrête la bécane  ;)

Je vois ce que tu veux dire; être inconscient au degré primaire c'est pas terrible niveau sécurité.
Mais y'a plusieurs sortes de peur; l'adrénaline qui grise et qui pousse au risque, celle qui paralyse comme un lapin dans les phares d'une voiture, l'anxiété qui vous rappelle qu'on roule au delà de ses moyens...

Des sentiments rationnels/irrationnels, susceptibles de changer très vite et de vous échapper. De la gestion tout ça.
« Modifié: 26/05/10 à 16:41:42 par vento »

Hors ligne moon: 1000mg

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #5 le: 26/05/10 à 16:42:17 »
Et bien perso, quand j'évite une mise au tas potentielle, même due à un mauvais comportement d'un usager. Je commence par me remettre en question. Car on n'enlèvera jamais les erreurs des autres sur la route, par contre sa propre attitude, on peut la faire évoluer vers plus d'anticipation des situations à risque.

Un exemple concret : J'arrive sur une BAR qui se traine sévère, bah je n'enquille pas pour doubler.
Il y a une chance sur 100 qu'il tourne à gauche sans clignotant. Donc je patiente un peu derrière pour m'assurer de ses intentions.

Hors ligne vento

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #6 le: 26/05/10 à 16:52:02 »
Un point au chapitre anticipation.

- Je précise c'est pas pour faire l'apologie du risque genre rouler à 200-> "pas grave j'ai des réflexes de yamakazi".
Rouler en bécane c'est déjà une prise de risque statistique énorme, en rajouter un cas de conscience.

Et parfois il vient à vous tout seul.
Je compte plus les décrochages sur des flaques de saloperies huileuses et invisibles dans des rond points. Par exemple.
« Modifié: 26/05/10 à 16:55:58 par vento »

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #7 le: 26/05/10 à 16:54:13 »
Il m'a fallu plus de 10 ans pour que la réflexion l'emporte sur le réflexe.
Ma main continue à choper le frein mais j'arrive à me retenir de la serrer.
C'est les Brembo Or qui m'ont appris (chèrement) ça. Avec eux aucun pardon : réflexe non maîtrisé = gamelle.

La seule solution comme dit moon c'est de toujours prévoir le pire et donc d'anticiper la réaction.
Virage aveugle = doigts sur le frein,
Remontée de file = main gauche prête à pousser le guidon,
...

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Re : Re : la seconde de vérité
« Réponse #8 le: 26/05/10 à 17:06:13 »
Il m'a fallu plus de 10 ans pour que la réflexion l'emporte sur le réflexe.

Ouais voila, le travail sur soi.
Au tout début j'ai fais pas mal de "je prends les freins en virages", j'ai réussi à gommer. Mais j'ai l'impression que le pire réflexe-ennemi et le plus instinctif, c'est "je regarde le danger".

En situation de fatigue, quand la vision est déjà réduite de base, c'est trop évident de tomber dedans.

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #9 le: 26/05/10 à 17:14:15 »
personnellement j'ai peu d'expérience du deux roue comparer a certains. Mais je m'aperçois d'une chose:

A chaque mauvaise expérience j'adapte ma conduite pour éviter de me refaire avoir
Je m'explique:

- 5 000 bornes, 1ere moto: le feu passe au vert, je suis loin= réflexe de jeune con inconscient: j'accélère comme un goret
résultat : une camionnette garer juste devant le feu (avant le carrefour donc) a décider de se mettre en travers
moi je freine comme un goret mais je devine que je ne pourrai pas m'arrêter, j'ai réussi finalement a passer entre le trottoir et la camionnette, mais un peu plus et je m'explosai dessus
verdict: ne surtout plus jamais accélérer pour avoir un feu

- 6 000 bornes, toujours 1ere moto: 2 voies sur le l'avenue d'italie a paris, une autre camionnette (décidément) squat la file de gauche a 2 a l'heure, je vois rien devant ça roule pas, ça me saoul = réflexe de jeune con inconscient: j'enquille pour le doubler a droite comme un goret
résultat: une mémé qui ne regarde pas dans son rétro sort de sa place de parking qui est le long de ma voie
Je me retrouve en pleine accélération entre une camionnette a ma gauche et une bagnole a l'arrêt en face, je freine comme un porc et arrive a m'arrêter devant son pare brise arrière
verdict: ne plus jamais doubler sans visibilité par la droite

et j'en ai a la pelle des anecdotes comme ça, j'apprends de mes erreur.
Malheureusement certaines personnes n'ont pas cette chance et se déchire a la 1ere sans pouvoir apprendre

pour ce qui est de mes réflexes face a ce genre de situation vous aurez noter que c'est toujours le même, et pas forcément le bon : freiner comme un goret  ;D
Faudrais construire des asiles de cons mais... Vous imaginez la taille des batiments?

Hors ligne vento

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #10 le: 26/05/10 à 17:24:29 »
Roooh. Faut pas.

Et là ?

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #11 le: 26/05/10 à 17:30:35 »
En voila un sujet bien interessant, mais qui peut aussi très vite dérapré et évoluer dans un sens inutile.

Pour mon cas, jeune permis 125 depuis environ 18mois, le gros cube arrive fin juin, je roule actuellement en CBR 125 en région parisienne. Le décord est planté :)

Des expérience de situation d'accidents évité de justesse, par refléxe ou pas instint je ne sais pas trop, j'en ai environ une par moi pour les périodes les plus calmes, biensure toujours lorsque je suis en inter-file sur le Périph ou les divers autoroute que j'emprunt pour aller au travail ( A4, A86 jusqu'au bout) ou au CFA (A4, Periph).
2000km par mois dont au moins 1600 voir 1800 entres les files parisiennes, comme beaucoups dans la région, des inconscient en BAR on en voit pas mal, déboulé de devant un camion sans clignotant et sans avoir regardé dans les rétros, la tête dans les nuages...

Je n'ai jamais eu d'accident en interfile avec une BAR (juste une pousse-au-cul contre un Pan Euro à cause d'un superbe blocage de frein sous la pluie dans une bretelle de periph entre les files, sans gravitée.
Freinage reflexe pour ce coups ci...

Sinon des évitements d'urgences ca m'arrive d'en faire souvent lorsqu'une voiture déboite, je penche violement comme à l'auto-école pour m'immisser dans l'espace qu'elle crée en déboitant si jamais je n'ai pas le temps de freiner.

Mon principale soucis c'est la fameuse adrénaline-qui-grise dont tu parle, j'ai beau avoir une 125, sur certain trajet notamenent sur une portion de l'A86 vers Versailles, il y a une longue ligne droite en légère pente ou souvent, même au heure de pointes les voiture sont assez espacé. J'ai tendance à accéléré et vite me retrouver à slalomer entres elles vers les 130/140kmh, pas bien vite me direz vous mais lorsque j'ai la tête dans la bulle (obligatoire pour mon ptit 125), et que les voiture roules pas à plus de 100, ca va vite et c'est super dangereux. Je m'en rend compte et j'essaie de calmer mes ardeurs, sourtout que lorsque j'aurais mon gros cube, je n'aurais pas le droit à un tel comportement car la puissance ne seras pas la même.

Enfin voila, j'ai un peu de mal à saisir ta réelle attente avec ce poste en faite, mais j'aurais essayer d'y contribuer :)

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #12 le: 26/05/10 à 17:35:54 »
je suis d'accord avec Ben, le jour ou je prend ma bécane la matin avec la certitude totale de rentrer saint et sauf, j'arrête la moto, en revanche je me suis déjà retrouver sur l'autoroute après que ma copine est essayé de me "calmé" de la moto avec des histoire terrifiantes d'accident, et bien j'était tellement anxieux que je n'arrivait plus a conduire correctement, je me suis arrêté pour reprendre mes esprit
pour revenir un peu plus sur le post (dont je n'ai pas non plus tout à fait compris ce que l'on attendait de nous ;) ) je pense que dans n'importe quel accidents, malgré ce que l'on dit à nos pote pour les rassurer, on aurait pu l'évité... il y a un mois, j'étais en BAR et un mec à grillé un feu + un cédé le passage et ma percuté, et bien je n'ai pas regardé les voiture aux niveau du feu et j'aurai du... si on se contente de faire confiance au gens et à leur respect du code de la route et du civisme, surtout en moto, on ne dure à 2 jours (enfin pas à Paris en cout cas)...

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #13 le: 26/05/10 à 17:47:09 »
Ouip c'est vrai je me relis j'ai pas été bien clair.
Ce qui m'intéresse c'est la capacité de réaction, vos post vont dans ce sens.

Vrai que par exemple comme tu dis, une anxiété trop forte tue la conduite.
Tu "sur-anticipe" et du coup au final t'anticipe plus le proche/imminent.

D'ailleurs je serais curieux de savoir combien y'a de pilotes sous bêta-bloquants dans le sport auto/moto. ;D
« Modifié: 26/05/10 à 17:51:56 par vento »

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Re : Re : la seconde de vérité
« Réponse #14 le: 26/05/10 à 20:30:12 »
personnellement, le jour où je n'aurai plus peur en bécane, j'arrête la bécane  ;)

+ 675

C'est tous les jours que j'ai la trouille et c'est tant mieux. ça me permet de rester vigilante et d'anticiper au max (ou du moins j'essaye...  :D)

L'abus de confiance de jette au tas....
 

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #15 le: 26/05/10 à 20:57:34 »
Je suis ton opposé en moto, toujours méfiant, toujours en train de me surveiller, trop même, ce qui fait que je n'ai jamais vraiment profité de la moto jusqu'à maintenant, pour le boulot je conduis beaucoup en voiture et à force d'en voir sur la route ça me bloque en moto.

Dur de trouver le juste milieu

Hors ligne AAntoine: La Mèche

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #16 le: 26/05/10 à 22:02:05 »
c'est vrai que c'est quand je suis en BAR que je me rend vraiment compte du danger de la bécane, en moto, en interfile tu sais que tu as la place de passer, mais en BAR je les vois passer à ce qui paraît être à fond et je me dit, si je fais un écart, le mec est fini et je m'imagine le mec en BAR qui ne pense pas à ça et qui déboite, et ça me fais froid dans le dos...

Pour revenir plus au sujet, un vieux motard ma un jour dit ;) : "pars du principe que tout le monde sur la route veux ta peau!" et biens c'est vrai que quand tu vois certains comportement completement absurde des BAR tu te dis que c'est pas mal d'anticiper le pire (sans pour autant basculer dans la parano et ne jamais doubler mais s'assurer que le mec sais que l'on est la et qu'il veut bien nous laisser passer...) :)

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Re : Re : Re : la seconde de vérité
« Réponse #17 le: 26/05/10 à 22:34:58 »
En situation de fatigue, quand la vision est déjà réduite de base, c'est trop évident de tomber dedans.

Quand je suis fatigué, autant que possible j'évite de prendre la moto.
Il y a aussi des jours où simplement je le sens pas. C'est inexplicable... Ces jours là aussi, même si il fait un super temps, j'évite de rouler.

J'ai peu d'expérience en moto, mais plus en montagne.Y a des fois, t'arrive au pied de la paroi, et là, tu le sens vraiment pas, même si tu t'es préparé des mois. J'ai fait demi-tour souvent. Anxiété, peur : chacun appelle ça comme il veut. J'ai arrêté de culpabiliser le jour où j'ai lu les mémoires de Bonatti, pour moi le plus grand grimpeur, expliquant comment il avait renoncé sur sa première tentative aux Drus parce que la trouille le paralysait.

En moto, c'est un sentiment beaucoup moins fort bien sûr. Disons un mauvais feeling. Je me fie beaucoup à mon intuition et dans ces cas là, j'hésite pas à renoncer à une ballade. C'est aussi une des raisons qui fait que je vais pas au boulot à moto. Je roule vraiment quand j'en ai envie, quand j'ai la forme et que je sais que mon attention va être concentrée 100% sur la route.

Bien sûr, cela ne permet pas d'éviter tous les accidents, mais bon....

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #18 le: 28/05/10 à 00:04:05 »
Pour ma part, écouter mon intuition, ma peur, ma parano. méga surveiller les autres, les autos, mais certainement pas moins les motards, qui, pour beaucoup et ne vous en déplaise, ne sont pas moins inciviques, distraits ou agressif que les automobilistes.

Expérience: premier jour avec ma street. 140 Km au compteur. deux BAR font la course deux km derrière moi. je ne me doute de rien, peinard à 110 en rôdage. qq secondes plus tard, j'entend le crissement des pneus d'une voiture derrière moi. je vois la calandre d'une 206 en crabe dans mon rétro gauche... qui me rattrape. j'ai accéléré un grand coup, mettant le mètre qui lui fallait pour braquer, évitant l'accident. le gars a pu m'éviter, me doubler en dérapage, rebondir sur la berne centrale et me repasser devant. coup de frein pour moi, il passe à toute vitesse en marche arrière. Talus pour lui. Il est mort et il avait 23ans.

Avant de partir j'avais cette appréhension mais je me suis dit que c'était parce que je ne connaissait pas ma moto et suis parti quand même. j'ai mis cependant un casque peu insonorisé pour être plus en alerte. si j'avais mis mon Schubert, fort bien insonorisé, je me promènerai sans doute dans une chaise roulante. au mieux.

Je roule toujours de façon à être sûr d'être vu et/ou entendu, ne pas stimuler le coté crétin qui nous habite tous de tant en tant quand on "pilote", voiture ou moto, et je me mets toujours dans la peau des gars en autos, dans leur cocon, avec la musique, en conversation ou au téléphone, ne se rendant pas compte en permanence de leur vitesse et de l'environnement qui les entoure. pour moi rouler c'est 20% d'attention/anticipation, 80% de plaisir.

Hors ligne PR510857

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Re : la seconde de vérité
« Réponse #19 le: 28/05/10 à 19:25:31 »
Du haut de mes 46 balais et de mes 20 ans de moto, j'aurais trop d'anecdotes pour vous les raconter ici.
J'ai de l'expérience mais pourtant je me dis chaque fois que j'ai encore beaucoup à apprendre. Pas vraiment sur les situations critiques sur la route, mais beaucoup sur le maniement de ma moto.
C'est pourquoi je pense que les stages de perfectionnement manquent à chacun. Perso, je suis certain de ne pas savoir freiné à moto, et j'aimerais qu'on m'entraine à faire des arrêts d'urgence.